Lettres de la guerre 1914-1918
Jean CHAPIN frère de ma grand-mère Marie CHAPIN - Lettre du 7 septembre 1914 (Belgique, Sézanne) (J'entemps le canon et la mitrailleuse et les balles siffler à mes oreilles de tous cotés mais l'on commence à y être habitué) |
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Louis CHAPIN frère de ma grand-mère Marie CHAPIN - Lettre du 11 octobre 1914 (Il fallai marcher et ne pas refusser ou on le fusillait) |
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Jean CHAPIN frère de ma grand-mère Marie CHAPIN - Lettre du 15 octobre 1914 (Vouxiers dans les Ardennes, Aisne, Belgique à Philipeville, Fosse, Ardennes, Aisne, Marne, Sézanne, Marne, Aisne, Oise, Somme, Pas-de-Calais, Arras) (Le premier engagement le 21 août et ou la bataille à durer cinq jours) |
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Très probablement Jean CHAPIN frère de ma grand-mère Marie CHAPIN - Lettre du 30 octobre 1914 (Simencourt) (Je suis à une pièce de canon tous les jours sous les obus ennemi mais cela ne veut pas dire que j'y laisserez ma peau tout de mème je ferai mon possible pour la sauvée s'il y a moyen) |
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Toussaint CHAPIN frère de ma grand-mère Marie CHAPIN - Lettre du 1er janvier 1915 (Je te dirai que lon est comme les lapin on chouche dan les terier et je te dirai qui fai pas bon pour le moment on enten les mamite qui tombe) |
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Très probablement Jean CHAPIN frère de ma grand-mère Marie CHAPIN - Lettre du 11 janvier 1915 (Gouy en Artois) (Ceux qui ne s'en reviendront pas peut-être moi le premier) |
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François PHILIPPE beau-frère de mon grand-père Jean THOMAS - Lettre du 13 février 1915 (Nous somme arrivé sur la ligne du feu je ne peut pas en mettre d'avantage car nous somme pas à l'aise pour écrire) |
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François PHILIPPE beau-frère de mon grand-père Jean THOMAS - Lettre du 10 mars 1915 (Châlons, Alsace) (Avant hier il y a eu 200 quelque allemand de la garde impériale de tué a Chalons ont les repousé une 50éne de français de tué seulement peu de blessé) (Nous somme 7 milles soldats dans ce village près a partir au feu) |
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Jean THOMAS mon grand-père - Lettre du 26 mars 1915 (Que veut tu c'est un vilain moment a passer mais il faut esperer qu'un jour viendra l'ont ce retrouverat encore tous ensemble) |
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Jean THOMAS mon grand-père - Lettre du 30 mars 1915 (Le principal ces de ramener sa peau si ces possible et il faut l'esperer car si par malheur je ne revienderait pas je me demande ce que tu devienderait) |
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François PHILIPPE beau-frère de mon grand-père Jean THOMAS - Lettre du 8 avril 1915 (Villeseneux) (Je ne suis plus infirmier j'ai le fusil comme tout mes camardes et cela me plait mieux car l'on va tout ensemble au feu) |
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Jean THOMAS mon grand-père - Lettre du 9 avril 1915 (Je te l'est dit l'ont ce trouve tout pres des bôches) |
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Jean THOMAS mon grand-père - Lettre du 12 avril 1915 (Tu vat ètre 5 jours sans avoir de mes nouvelles car je vat dans les tranchée cette nuit) |
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Jean THOMAS mon grand-père - Lettre du 18 avril 1915 (Saint-Thomas en Argonne dans la Marne) (Je suis obligé d'aller faire une patrouille tout pres des tranchée boches alors tu voit bien souvent ces risquér sa vie) (Nous somme teré comme des lapins dans leur teriér dans les champs) |
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François PHILIPPE beau-frère de mon grand-père Jean THOMAS - Lettre du 23 avril 1915 (Saint-Mihiel, Verdun) (Il est espresement défendu de vous écrire l'endroit ou nous somme n'y la ville n'y les attaques) |
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François PHILIPPE beau-frère de mon grand-père Jean THOMAS - Lettre du 6 mai 1915 (Jeudi 29 avril nous avont perdu la moitié de notre bataillon de marche c'est à dire 530 dont la plupart sont tué les autre prisonniers) |
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Jean THOMAS mon grand-père - Lettre du 12 mai 1915 (Four de Paris) (C'est dans un bois et l'ont se trouve à 30 metre des boches alors tu voit il faut ouvrir l'œil il ne faut pas s'endormir) |
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François PHILIPPE beau-frère de mon grand-père Jean THOMAS - Lettre du 18 mai 1915 (Bois de Monèllie, Villedieu) (L'on parle beaucoups que cette triste guerre finirait pour le mois de juin si cela pourait être vrai que l'on serait content) |
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Jean THOMAS mon grand-père - Lettre du 25 mai 1915 (Forêt de l'Argonne à Saint-Hubert) (J'aprend a l'instant que l'italie a declaré la guerre a l'autriche peut etre que ca fera avancé cela) |
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Jean THOMAS mon grand-père - Lettre du 25 mai 1915 (Argonne Saint-Hubert) (Ont entend balles et obus sifler aux oreilles mais lont ny porte pas atention l'ont ne ce doute de rien ont attend la mort tranquilement tout ent causant) |
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Jean CHAPIN frère de ma grand-mère Marie CHAPIN - Lettre du 27 mai 1915 (Arras) ( Il faut s'attendre quelques fois aux pires nouvelles car tous ceux qui étaient par ici c'est le 48 le 71 le 41 le 47 et le 70 et dans ces régiments là il y en a toujours de de par chez nous) (Il y en à eu six de tuer net du même obus et cela de ma batterie) (Comme je ne peur cacheter mais lettres je ne te disais pas ou j'étais puisque l'on en à pas le droit) |
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Jean THOMAS mon grand-père - Lettre du 27 mai 1915 (Argonne Saint-Hubert) (Je te dirait que voila la 7eme journée que je suis aux tranchée c'est bien long et je suis ent première ligne a 25 ou 30 mètre des boches il faut ouvrir l'œil contres ces sales boches) (Ont parle de nous envoyer dans les dardanelle) |
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François PHILIPPE beau-frère de mon grand-père Jean THOMAS - Lettre du 4 juin 1915 (Mouilly) (Un obus a 40 mètre plus loin ou je me trouve dans la tranchée qui a tuées 6 de mais camarade qu'etait avec moi au 71e bataillonde marche il y en a méme un que la moitié de sont corp est suspendu à un arbre dans le bois) (Il n'y aura plus bientot d'homme car s'est incompréhensibles pour vous de comprendre il faut être là pour se rendre compte de tout les manquand qui tombe tout les jours) (D'après les jours qui se passe je ne colmpte pas revenir) |
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Jean THOMAS mon grand-père - Lettre du 8 juin 1915 (La Harazée en Argonne) (La ou nous couchons cest plein de poux) (La ou je suis il y a 3 ou 4 cimetière qui contienne bien de 500 a 600 mort a que tout cela est triste ont ent voit des tombes dans les bois sur les routes et un peut partout oui vivement que cela finisse) |
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Jean THOMAS mon grand-père - Lettre du 14 juin 1915 (Nous somme obliger de regarder toujour ent l'air a cause des bombes que l'ont lance et qu'il nous lance ces sale bôches) |
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François PHILIPPE beau-frère de mon grand-père Jean THOMAS - Lettre du 17 juin 1915 (Près de Metz, Verdun) (Les grandes batailles se trouvent pour le moment du coté du nord de Reims et de Soissons nous autres nous feront de grande attaques quand dernier car c'est nous qui sont les plus avancé de la frontiere d'allemagne) |
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Jean THOMAS mon grand-père - Lettre du 19 juin 1915 (La Neuville aux Bois) (La ou l'ont était il fallait ouvrir l'oeil il ne fallait pas penser a dormir ou c'était un homme mort la ou l'ont est ont trouve cela drôle de ne plus entendre le canon ni fusil ni mine ni bombes ont ce croirait vraiment ent paix,mais malheureusement non) |
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Marie CHAPIN ma grand-mère - Lettre du 22 juin 1915 (J ai reçu une lettre davec ton beau frére il se trouve a Verdun) |
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Jean THOMAS mon grand-père - Lettre du 25 juin 1915 (Bronne écrit Braume, Châlons) (Enfin cela finirat bien un jour mais qu'and) |
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Marie CHAPIN ma grand-mère - Lettre du 28 juin 1915 (Je t'avait dit que javait eût une lettre dimanche dernier de ton beau frére aujourdhui je recoit une carte du ministre de la guerre en me disant qu'il est blessé sans gravité a la tète dune éclat dobut) |
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François PHILIPPE beau-frère de mon grand-père Jean THOMAS - Lettre du 29 juin 1915 (Neufchâteau) (Voilà 8 jours que nous attaquon s'est par mille et mille une vrais boucherie cela est honteux nous nous entre tuont) (J'ai été blessé dans une tranchée allemande prise par nous) |
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François PHILIPPE beau-frère de mon grand-père Jean THOMAS - Lettre du 3 juillet 1915 (Neufchâteau Vosges) (La tranchée que nous avions pris aux allemands jeudi ils nous l'on reprise et vous croyait que cela n'est pas malheureux de faire tués dans d'hommes pour gagné 100 mêtres et les perdres le lendemain s'est des choses incompréhensible s'est une vraie boucherie et quand donc que cela finira) |
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Jean CHAPIN frère de ma grand-mère Marie CHAPIN - Lettre du 4 juillet 1915 (Noyellettes, Arras) (J'y ai déjà vu la mort plusieurs fois de proche deux maisons à deux étages et grenier au dessus qui se sont effondrée à côté de moi heureusement que les caves étaient bonnes j'aurait été englouti dessous) |
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Jean THOMAS mon grand-père - Lettre du 4 juillet 1915 (Lettre écrite par une infirmière) |
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Jean THOMAS mon grand-père - Lettre du 17 juillet 1915 (Bagatelle en Argonne, Hôpital Février) (Bien souvent déja je me suis crut rendue a ma dernière heure mais tellement ont était abrutit par les bombes les bruits des cartouches qui nous siflait aux oreilles que je n'avait j'amaisvoulu te le dire) (Je croit tout de même qu'il auront beaux faire ces sales boches mais il seront tout de même je croit forcé de l'acher avant peut d'après les journaux ont parle du mois d'octobre il parait que guillaume en a assez a il ne cerat que temps) |
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François PHILIPPE beau-frère de mon grand-père Jean THOMAS - Lettre du 20 juillet 1915 (Dainville) (Cela vous fait bien du mal quand il faut repartir dans l'endroit ou l'on n'a failly mourir enfin ont a toujours l'espérance) |
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François PHILIPPE beau-frère de mon grand-père Jean THOMAS - Lettre du 1 août 1915 (Dainville) (Je vais partir voir les boches rejoindre mes camarades) |
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Jean CHAPIN frère de ma grand-mère Marie CHAPIN - Lettre du 7 août 1915 (Beurey, près de Verdun et St-Mihiel) (L'on parle d'aller voir les marmites boches un de ces jours et leur en lancer encore quelques unes) |
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François PHILIPPE beau-frère de mon grand-père Jean THOMAS - Lettre du 7 septembre 1915 (La Marne, Châlons, camp de Mally) (Nous somme environs 1 millions de troupes et nous allons pour attaquer du côté de Reims ou de Soissons) |
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Jean THOMAS mon grand-père - Permission du 23 décembre au 26 décembre 1915 |
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François CHAPIN frère de ma grand-mère Marie CHAPIN - Lettre du 19 avril 1916 (Il y en a assez a se faire tué tous les jours il n y à pas besoin des pères de famille comme toi de venir te faire cassé la figure) |
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Jean THOMAS mon grand-père - Lettre du 27 août 1916 (Cherbourg) (J'assiste au renflouement d'un sous-marin, qui avait fait esplosion dans le port de la chambre ou je suis je voit tres bien qu'ant il a fait esplosion cela nous a tous reveiller tout a trembler ont croyait que cétait un zéppelin boches qui venait nous lancer des bombes l'ont dit qu'il y a 6 mort et plusieurs blessé) |
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François CHAPIN frère de ma grand-mère Marie CHAPIN - Lettre du 5 septembre 1916 (Depuis que je suis rentré à la batterie de retour de permisions en voilà 6 tué et 10 blessé alors tu voit si cela continue nous ne resterons plus dans qu'elle que jours) |
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Jean CHAPIN frère de ma grand-mère Marie CHAPIN - Lettre du 18 mai 1917 soit 9 jours avant de décéder des suites de ses blessures à l'hôpital de la Veuve dans la Marne, cité à l'ordre du régiment (Que veus-tu l'avenir nous réserve encore bien des surprises malheureusement) |
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Jean CHAPIN frère de ma grand-mère Marie CHAPIN - Détails des services |
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Jean THOMAS mon grand-père - Lettre du 7 juin 1917 - Décès de Jean Chapin (Je te dirait que ca me fait bien de la peine car c'était un tres brave garcon et vraiment ce n'est pas de chance car apres avoir fait toutte la campagne et y laisser sa peau ces vraiment malheureux) |
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Louis CHAPIN frère de ma grand-mère Marie CHAPIN - Lettre du 12 août 1917 (Argonne, Meuse, Front de Verdun) (Voilà huit jours que je suis maintenant dans la Meuse pour faire toujours la même chose et peu tètre avant que tu aura reçu ma lettre que lont aura encore fais une petite boucherie car on doit la faire pour le 15 de se mois pour fêté la mie août ses toujours agréable de passé un petit moment a se faire descendre pour l'honneur de la patrie mais quand il voudron nous laissez un peut tranquille sa nous ferais bien plaisir) |
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Jean THOMAS mon grand-père - 1er régiment d'infanterie coloniale, décision du 26 décembre 1917 |
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Henri CHAPIN frère de ma grand-mère Marie CHAPIN - Lettre du 10 septembre 1918 (Je suis dans une compagnie de mitrailleuse à faire un stage de mitrailleur mais je commence à m'ennuyer à apprendre tout ce fourbi) |
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Astuce pour faire savoir d'où on se trouve sans l'indiquer en clair |